Chaque saison amène son lot de vêtements qui lui est propre : manteaux, écharpes, bonnets et autres chaussettes en laine sont de la partie en ce moment. Si nous ne changeons pas de pelage lorsque tombent les feuilles, nous changeons notre façon de nous habiller.
Mieux vaut toutefois éviter les erreurs de style les plus communes au moment de changer nos habitudes vestimentaires. Voici 6 faux-pas que vous ne ferez pas.
Le mauvais couvre-chef
On pense souvent à choisir son couvre-chef lorsqu’on se rappelle de la température extérieure, et non en composant son look du jour. Un bonnet trappeur (particulièrement chaud !) accompagnera très bien un look casual (chemise unie et jeans, par exemple) mais sera en désaccord avec un look habillé.
Pour un choix sans risque, dirigez-vous vers bonnet neutre, assez long pour couvrir vos oreilles mais pas assez large pour vous donner une apparence négligée.
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Le manteau de mauvaise facture
Un manteau de mauvaise qualité se repère facilement : tombé qui n’épouse la forme du corps, épaisseur proche du papier à cigarette ou boutons en plastique qui se brisent rapidement.
Mieux vaut partir sur une pièce qui durera – sinon à vie – au moins plusieurs saisons. Le prix sera plus élevé, mais vous ferez de grandes économies puisque vous n’aurez pas à le remplacer chaque année. Et surtout, il tiendra bien dans le temps et vous apportera style et chaleur à travers la saison.
Qui dit prix plus élevé, ne dit pas cependant nécessité de casser sa tirelire. Certaines marques proposent des manteaux de bonne qualité à prix très raisonnable. C’est par exemple le cas des modèles Mario Dessuti.
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Et si vous avez envie de briser cette fameuse tirelire pour vous acheter une pièce haut-de-gamme, certaines marques sont spécialisées dans les vêtements faits de matériaux performants, comme Gertrude + Gaston.
Le parapluie cheap
Un parapluie est un accessoire à double tranchant : de mauvaise qualité, il ruinera votre style. Bien choisi, il fera passer votre look au niveau supérieur et sera l’accessoire qui vous distinguera dans la masse.
Tout comme un bon manteau, il est plus onéreux. Mais également beaucoup plus rentable puisqu’il vous accompagnera des années durant, à l’inverse des modèles bon marchés qui peinent à tenir quelques mois.
Les chevilles apparentes
L’été est la période idéale si vous aimez porter vos pantalons retroussés et laisser vos chevilles apparentes. L’hiver, ce n’est plus réellement le moment. Non seulement vous laisserez pensez que nous sommes encore le 14 juillet dans votre esprit, mais en plus vous prendrez le risque d’attraper un bon rhume. Tout comme les poignets, les chevilles sont pourvues de nombreux vaisseaux sanguins situés à fleur de peau.
Pas de panique si vous aimez porter vos pantalons retroussés même en hiver, équipez-vous alors avec une bonne paire de chaussettes. Si possible en coton voire en fil d’écosse.
Et vous le savez déjà, interdiction formelle de porter des chaussettes blanches en dehors de la salle de sport ou du cours de tennis.
Les mauvaises chaussures
Avec l’hiver, viennent sont souvent l’averse et la grêle. Vous pouvez reléguer jusqu’au printemps tout ce qui n’est pas waterproof : espadrilles, tennis légères et autres baskets tricot. Non seulement vous risquez d’attraper froid, mais votre style fera penser que vous subissez un jet lag de 6 mois.
Optez plutôt pour des boots ou des chelsea qui personnaliseront votre look et qui vous garderont bien au chaud – et au sec.
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Le layering anarchique
Avec les températures qui baissent, votre cerveau reptilien vous intimera de porter plusieurs couches de vêtement. Si la logique est imparable en termes de survie, vous devrez faire appel au reste de vos méninges pour que l’opération rime avec style.
Voici quelques règles impératives à observer :
☞ enfilez les couches de la plus fine à la plus épaisse ;
☞ respectez les tailles, n’essayez pas de porter un t-shirt large sous un cardigan slim ;
☞ votre look doit rester cohérent à chaque fois que vous retirez un vêtement.
Un layering bien maitrisé, c’est l’assurance d’avoir un style sans faille. Et de ne jamais finir nu au strip-poker.
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