Techno, toujours pareil

Techno, toujours pareil

Bonjour !

En arrivant sur Paris l’année dernière, j’étais extrêmement excitée à l’idée de pouvoir enfin tester et découvrir les nombreuses adresses que j’avais consciencieusement répertoriés sous forme d’étoile dans mon google maps. Et puis, outre les restos, musées, salons de thés, il y avait aussi les soirées dont on m’avait parlé, et dont j’avais pris note, les yeux grands ouverts, en me promettant de ne rien louper. Les Jeudis ok d’abord, et puis toutes celles que j’ai découvert ensuite, les Flash Cocotte, les House of Moda ou les Bizarre Love Triangle. Des collectifs comme les Fils de Venus ou les Casual Gabberz,  et puis les lieux, comme le Rex, la Concrete, le Badaboum, le Gibus, le Maxim’s, le Wanderlust ou la Folie.
Toutes ces soirées, et tous ces lieux qui offrent une nuit parisienne de très bonne qualité, qui certes, n’égale pas en notoriété celle de Berlin, mais qui est tous de même là pour faire danser tous les oiseaux de nuits égarés.

Au son de quoi ? La techno bien sûr.

Cette musique, c’est la musique du boum boum, des sauvages, des jeunes, des fous, des gays, des tatoués, des drogués : la musique des clubbers nés.

Arte rend hommage à tous les amoureux du boum boum et à ceux qui n’ont pas fini de danser, avec ce très beau documentaire, qui retrace les origines de la techno jusqu’à nos nuits. Tous les labels, toutes les soirées, et tous les DJ mythiques y sont, à croire que cela rappellera quelques bons souvenirs à certains.
Je vous conseille de ne pas attendre, il est disponible encore deux jours.

Je vous embrasse, on se voit samedi à la Flash.