Comme vous avez pu le voir sur bon nombre de mes articles « Trouvailles de la semaine« , je suis une grande fan de photos de voyage, de photos un peu passées, un peu dénudées, pleines de liberté. Et c’est exactement pour cela que j’ai choisi cette semaine de vous montrer le travail de Maud Chalard, qui photographie des femmes, des hommes, des voyages qui respirent la nature et la liberté.
Il y a des jours comme ça, où on a simplement envie d’écouter des vieux sons, des trucs qui nous font du bien et qui nous rappellent des bons moments, comme ça, gratuitement. Aujourd’hui en me rendant aux Puces de l’Illustration, c’était Phoenix et « If I Ever Feel Better« , toujours aussi pleine de vie qu’à l’époque, cela fait du bien en hiver.
À la fois coloré, contemporain et ethnique, j’ai tout simplement adoré l’univers de la marque Harakat Sisters, qui comme son nom l’indique, a été fondée par deux sœurs passionnées de mode. Possédant dors-et-déjà leur corner aux Galeries Lafayette, l’avenir n’attend qu’elles !
En parlant des Puces de l’Illustration, j’ai pu rencontrer le duo d’illustrateurs Icinori dont je connais le travail depuis un certain temps et dont je suis totalement fan. Ce que je montre sur le blog n’est qu’un tout petit extrait de leur incroyable production, qui est d’autant plus magnifique en vrai. Je vous invite grandement à aller regarder cela de plus près ici.
Flesh and Bone est une série produite par la chaîne américaine Starz, depuis novembre.
Claire, jeune ballerine fragile, taiseuse mais surdouée s’enfuie de chez elle et part auditionner dans une prestigieuse compagnie de danse New-yorkaise l’American Ballet Compagny. Immédiatement repérée par les juges elle intègre après une audition seulement le corps du ballet, ce qui lui met toutes les autres danseuses à dos. Rapidement, la pression, la fatigue et le harcèlement des autres malmènent Claire dans cet univers qui ne fait de cadeau à personne, la danse classique.
Si vous avez été fasciné par l’univers dépeint dans Black Swan, alors vous ne pourrez qu’adorer cette mini-série de huit épisodes, véritable révélation de la fin de l’année. On nous l’avait dit, le monde du ballet est celui des tyrans, des opportunistes et de ceux qui ne lâchent rien. Mais également un monde d’infinie grâce auquel la série fait largement honneur en ne castant que de véritables danseurs d’Opéra, et non des acteurs sachant danser. La souffrance de l’âme pour la sublimation du corps.