Mode, art, ciné, culture : mes trouvailles de la semaine #81

Publié le 11 octobre 2015 par Marine Escurier @marineescurier

Cette superbe décoration est l’oeuvre du studio d’architecture espagnol CaSA qui a entièrement rénové cet appartement du centre Barcelonais. J’adore tout particulièrement le carrelage géométrique incrusté dans le sol, une idée audacieuse et bien pensée !

 

Je vous avais parlé la semaine dernière du film Maryland que j’ai eu la chance de découvrir en avant-première, je vous présente aujourd’hui la géniale bande-son créé par Gesaffelstein. Inquiétante, troublante, elle vient renforcer et sublimer le côté nerveux du film, pour un mariage son/image détonnant et angoissant. J’adore !

RIKA n’est pas seulement un magazine de mode mais une marque à part entière concevant ses collections dans un style intemporel et facile à porter. Le magazine à l’air tout aussi intéressant puisqu’il consacre la majorité de ses articles aux femmes actives du monde des arts. Intéressant.

Si comme moi vous êtes abonnés au magazine Glamour, vous n’avez pas pu passer à côté de l’article à propos de Charlotte de Vilmorin, blogueuse, entrepreneuse et en fauteuil roulant ! Son blog s’appelle Wheelcome et raconte son quotidien et problèmes de déplacements. J’ai souhaité vous en parlez car j’ai trouvé son blog très drôle et intéressant, ce qui pour nous ne sont que trois marches à monter, pour elle cela peut-être une galère d’une heure ! Une belle prise de conscience sur le handicap.

Mon roi est un film de MaĂŻwenn, sorti en 2015.

Tony, parisienne trentenaire tombe sous le charme de Georgio, golden-boy aussi charmant que destructeur. S’en suivront dix ans de relation conflictuelle et compliquée, entre intenses moments de joie et sombre hystérie.

BrĂťlant, passionné, voilà comment on pourrait qualifier ce film en écho avec l’histoire d’amour qu’il illustre. Georgio est ce qu’on pourrait appeler un type irrésistible, menteur, manipulateur, charmant à outrance, irrésistible. Tony le sait mais plonge la tête la première car elle n’a d’autre choix que de l’aimer et de le détester à la fois. Les personnages peuvent sembler caricaturaux mais sont tout en nuances, aussi critiquables l’un comme l’autre. C’est peut-être ça la force du film, ne pas ériger de victime ou bourreau, simplement raconter une histoire réaliste et compliquée.

PS : N’oubliez pas de voter pour les Golden Blog Awards, en haut à droite sur le side-bar, UN VOTE PAR JOUR ET VOUS éTES DES AMOURS !