Mode, art, ciné, culture : mes trouvailles de la semaine #76

Publié le 09 août 2015 par Marine Escurier @marineescurier

Lumineuse, spacieuse, épurée mais chaleureuse, j’ai adoré la décoration et l’agencement de la maison du couple d’architectes Sara Olga Pasini et Gergely AĚ�goston, à la tête du studio d’architecture Aapa. Une très jolie vitrine !

Si vous préparez votre rentrée et celle de vos kids, voici un très joli cartable trouvé sur l’e-shop de la marque Bobo Choses, qui propose d’adorables vêtements et accessoires pour enfants. Allez donc faire un tour ici, pour remplir leurs armoires pour la rentrée, et trouver de quoi vous inspirer.

Le collectif d’architectes UdA a eu l’idée de concevoir cette ligne de meubles dédiée aux enfants en réalisant que très peu d’éditeurs de mobilier s’intéressaient à la conception pour enfant. En découle cette superbe collection aux couleurs douces et aux formes modernes et pratiques. Une réussite !

Mast Brothers est une marque de chocolat artisanal fondée par deux frères américains. Personnellement je ne l’ai pas encore goĂťté, mais le graphisme des emballages fait diablement envie. Comme quoi, le packaging est crucial dans l’élaboration d’un produit.

MicMacs à tire-larigot est un film de Jean-Pierre Jeunet, sorti en 2009.

Dans les années soixante-dix, une équipe de déminage française au Sahara tombe sur une mine qui explose : le père de Bazil est tué sur le coup. Trente ans plus tard, Bazil se prend une balle perdue dans la tête, auquel il survit de justesse mais qui lui fait perdre son emploi et le met à la rue. Recueilli par une bande de chiffonniers, Bazil tombe un jour sur les deux entreprises d’armement qui ont ruiné sa vie, celle de la mine de son père, et celle de la balle dans sa tête. Avec l’aide de sa petite bande clandestine, il monte un plan pour se venger, en les faisant s’accuser mutuellement.

Décalé, drôle et inventif, on retrouve bien la patte de Jeunet dans ce film. L’histoire est finement menée et remplie de petits moments poétiques, à l’instar d‘Amélie Poulain. Pour une fois, vengeance ne rime pas avec gros muscles et grosse technologie, mais avec moyens du bord et beaucoup de créativité. Un film très bien mené, avec un Dany Boon transformé, bien à l’écart de son rôle de ch’ti.