Mode, art, ciné, culture : mes trouvailles de la semaine #71

julia

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Ces très belles photos de voyage ont été prises par Julia Robbs, expat française à New York. La chaleur n’est pas de mise mais pourtant il émane une fraîcheur telle qu’on a presque envie de sortir dehors se rafraîchir sous la pluie, pour nous aussi goûter à cette vitalité.

Cet vidéo réalisée par le site américain Mode récapitule 100 ans de mode américaine à travers 10 tenues représentatives de chaque décennies. Que ce soit les 50’s aux robes cintrées ou les 80’s à la coiffure choucroute et à la robe satinée, les époques sont toutes bien représentées sans tomber dans le cliché. Et vous, plutôt années quatre-vingt-dix goth ou vingt charleston ?

une histoire de chaussures

Et puisqu’on parle d’histoire de la mode, voici le grand récap’ niveau chaussures, gentiment envoyé par le site de mode en ligne Farfetch.

la mouche et la cloche

C’est en m’égarant sur internet (comme la plupart du temps en fait) que j’ai trouvé ce génial studio de création graphique appelé la Mouche et la Cloche. Fanny directrice artistique, est la mouche, Sylvain, typographe, est la cloche (mais pourquoi ces surnoms là, ça on ne sait pas). Un duo gagnant à la créativité très inspirante.

Deux jours, une nuit est un film des frères Dardenne, sorti en 2014.

Sandra, ouvrière dans une usine de panneaux solaires, revient tout juste de sa dépression et apprend que son poste est supprimé. L’équipe avait le choix entre une prime de 1000 € ou maintenir le poste de Sandra et perdre sa prime, et seul deux de ses collègues ont voté pour elle. Ayant obtenu le droit de refaire un vote le lundi suivant, elle a seulement un week-end pour convaincre ses collègues de renoncer à la prime pour garder son emploi.

Les frères Dardenne sont décidément les maîtres incontestés du film social, le prouve une nouvelle fois ce film sur les classes ouvrières, où les destins ne se jouent à rien. Entre honte, violence et parfois pleurs, Sandra doit faire face au refus des uns comme au basculement des autres, même si tous hésitent.

Salaud, j’aurais accepté à sa place ! Mais sait-on vraiment ce que c’est d’être à sa place ? Laisserait-on filer cet argent dont-on a besoin pour permettre à une autre famille de manger ? Le choix n’est pas si simple, et filmé avec authenticité. Une très belle réflexion intimiste et humaniste.